Pour de nombreuses raisons, l’édition photographique ne dispose pas d’une critique suffisamment établie, comme c’est le cas du roman par exemple, pour accompagner la sortie d’un livre. Le nouveau-venu, une fois publié, devra se débrouiller seul. Dans ce contexte, le photographe qui souhaite faire connaitre sa dernière parution n’a d’autre solution que de développer des moyens alternatifs de promotion. Ceux-ci, quoique respectables, le mettent souvent dans la position inconfortable de l’artiste  qui descendu de son piédestal, se retrouve à vendre tel un bonimenteur son propre travail.

 L’idée de réaliser des entretiens vidéos dans lesquels des gens, qu’ils soient écrivains, architectes, artistes, mais aussi professeurs, boulangers ou menuisiers, seraient invités à parler d’un livre photographique, cette idée très simple n’étant venue à personne, on s’est dit qu’il fallait la retourner pour en faire un objet drôle et provocateur, un jeu de reflets dans lequel on ne sait plus qui regarde qui, et affirmer par ce twist la légitimité de l’artiste VRP. C’est ainsi que sont nés les entretiens Poli-Miroir. Ils auraient pu s’appeler entretiens Brosse-à-reluire si, dans un sursaut d’orgueil, nous n’y avions renoncé. 

Pour la sortie du Volume 6, on inaugure le jeu avec Jill Gasparina, Clément Paradis, Fanny Quément et Eric Reinhardt. Afin qu’ils gardent leur spontanéité, les Poli-Miroirs prendront la forme de courts entretiens enregistrés sur téléphone portable et montés sommairement avant d’être diffusés sur les réseaux sociaux.

Pour de nombreuses raisons, l’édition photographique ne dispose pas d’une critique suffisamment établie, comme c’est le cas du roman par exemple, pour accompagner la sortie d’un livre. Le nouveau-venu, une fois publié, devra se débrouiller seul. Dans ce contexte, le photographe qui souhaite faire connaitre sa dernière parution n’a d’autre solution que de développer des moyens alternatifs de promotion. Ceux-ci, quoique respectables, le mettent souvent dans la position inconfortable de l’artiste  qui descendu de son piédestal, se retrouve à vendre tel un bonimenteur son propre travail.

 

L’idée de réaliser des entretiens vidéos dans lesquels des gens, qu’ils soient écrivains, architectes, artistes, mais aussi professeurs, boulangers ou menuisiers, seraient invités à parler d’un livre photographique, cette idée très simple n’étant venue à personne, on s’est dit qu’il fallait la retourner pour en faire un objet drôle et provocateur, un jeu de reflets dans lequel on ne sait plus qui regarde qui, et affirmer par ce twist la légitimité de l’artiste VRP. C’est ainsi que sont nés les entretiens Poli-Miroir. Ils auraient pu s’appeler entretiens Brosse-à-reluire si, dans un sursaut d’orgueil, nous n’y avions renoncé. 

 

Pour la sortie du Volume 6, on inaugure le jeu avec Jill Gasparina, Clément Paradis, Fanny Quément et Eric Reinhardt. Afin qu’ils gardent leur spontanéité, les Poli-Miroirs prendront la forme de courts entretiens enregistrés sur téléphone portable et montés sommairement avant d’être diffusés sur les réseaux sociaux.